jeudi 1 novembre 2007
PostScript Ville
Cady Noland, Oozewald, 1989
Le PostScript est un langage informatique spécialisé dans la description de page, mis au point par Adobe. Il repose sur des formulations vectorielles de la plupart de ses éléments. Il sait aussi traiter les images sous forme de bitmap ou raster (nuage de points).
Ce langage inter-plateformes permet d’obtenir un fichier unique comportant tous les éléments décrivant la page (textes, images, polices, couleurs, etc.). PostScript est devenu pratiquement un standard, la plupart des imprimantes récentes peuvent traiter directement le format PostScript (NB : sur les imprimantes plus anciennes, il fallait utiliser un filtre logiciel en entrée pour convertir le langage PostScript au format raster compréhensible par les anciennes imprimantes). (définition Wikipedia)
Geoffrey Cottenceau / Romain Rousset, gneborg
Jame Rosenquist, Crosshatch and Mutations, 1986
FAT, Invisible vase, video
Cross River Park, Maxwan
Le Point de départ de Philippe Parreno – son panneau indicatif en quelque sorte – fut de concevoir une exposition comme si elle sortait d’un livre (un peu comme c’est le cas dans les films de Walt Disney : ils commencent toujours par l’image d’un livre ouvert dans lequel on entre), une exposition conçue comme un pop-up book. Cela sous- entendait alors que le livre devienne le lieu même de la monographie, et aussi, sur un plan pratique, que l’exposition dans son entier soit réalisée uniquement sur un support papier. « Le communiqué de presse fera pleinement partie de l’exposition et ce sera donc en papier. L’espace d’exposition sera aussi en quelque sorte en papier. Ainsi que le carton d’invitation, l’affiche, le catalogue, tout sera du papier. »
Pour Parreno, concevoir l’exposition comme un pop up book offrait l’avantage de résister à la fois à la pesanteur et à la rigidité du format même de l’exposition monographique rétrospective et à la tentation d’appréhender son travail sous une forme fixe, définie, ou – en empruntant à son vocabulaire – résolue.
Adam Mufti, J'adore
(…)
« Aujourd’hui, ce ne sont plus les images qui sont belles, ce sont les chaînes. »
(…)
[Jaron] Lanier et Parreno ont rapidement trouvé un terrain d’entente autour de la question du conflit entre la résolution et l’irrésolution des images. (Extrait de leur première conversation, au téléphone : « P.P. : No resolution! J.L. : Yeah ! Resolution is an idiots game. »)
Hans Ulrich Obrist, …dontstopdontstopdontstopdontstop
Fulguro, bar Nestlé, Montreux Jazz Festival 2006
Cédric Price a réfléchi à ce qui pourrait remplacer le terme de « ville » - sûrement pas « mégalopole » ou tout autre terme du genre (trop difficile à prononcer). Il décrivait un jour ce mot nouveau comme « un mot possiblement associé à la conscience humaine du temps, transposé en terme d’espace. Je n’ai pas encore trouvé le mot, mais cela ne devrait pas être trop difficile ». Plus tard, il écrivait que ce mot devait être « comestible et suffisant ».
Hans Ulrich Obrist, …dontstopdontstopdontstopdontstop
Happypets
Ugo Rondinone
Fat, The Hoogvliet Heerlijkheid project - a park, community building and ancillary features.
Douglas Gordon, Philippe Parreno, Zidane
Schiphol Airport, Eikongraphia
En fait, c’est pour évoquer l’espace. Mon premier titre était « Haïti parc ». C’est le nom d’un endroit à Taiwan. Mais je trouvais que le terme était trop abstrait. J’ai cherché dans un dictionnaire et je suis tombée sur le terme « cosmodrome ». Je voulais un terme proche de planétarium mais moins codé que ce mot. Avec le terme cosmodrome, ce qui est bien c’est que l’on ne sait pas à quel type d’espace cela fait référence. Il y a tout de même l’évocation d’un cosmos et l’idée d’un espace.
L’environnement ne doit donc pas forcément évoquer le décollage d’une fusée.
Pas du tout non. On est plutôt dans un vaisseau. C’est surtout le charme du mot qui justifie mon choix.
DGF
Mark Handforth, Vertigo, 2007
Ida Tursic & Wilfried Mille, Fashion-cumshot
Petra Blaisse, Inside-Outside
Trisha Donnelly
Pierre Joseph, Angela Bulloch
Angela Bulloch, Antimatter3: The Thing: 4:3:1, 2004
Bertrand Lavier, N°5 / Shalimar, 1987
Schonwehrs
It design, It bed futon
Oui, bien sûr. Elle parle dans sa langue et se dédouble. Sa « traduction vivante » (en anglais) est un clone d’elle-même. Ann Lee a une dimension très contemporaine ; elle est à la fois dédoublée, elle existe dans différentes langues et elle adopte une position un peu apocalyptique. Pour moi, il est naturel qu’elle parle le japonais vu que c’est sa langue d’origine.
DGF
Fulguro, Rehouse/Bath
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire